Pour ma part j'ai adoré cette partie, la carte est super et la bataillle a été acharné et je me suis fait tailler en pièce comme il faut.
Petit extrait du compte rendu:
[i]+++ Système de cryptage 22, base de donnée: archive de combat,
article: Bataille au temp des moulins, rapport du Herr Hauptman Von Vulkan ( exécuté pour incompétence a la suite d'une erreur de débutant (voir rapport ultérieur )+++[/i]
[i] Début enregistrment. 22h23
" Je triturais nerveusement ma radio.... 20 minutes que mes 200 hommes attendait a l'arrière des lignes mes ordres. Les rapports venant de l'ouest et du Popov Akou indiquait, malgré de grand renforts de jurons et d'histoires concernant un camion rempli de mortier en première ligne et de colline maléfique qui se déplaçait seule, que la situation était sous contrôle, et sous barrage d'artillerie aussi. Les commandants jinroh et Love s'amusait à triturer les défenses ennemie, et à les enfoncer. Pour ma part ma seule action avait été d’arrêter une infiltration de troupes d'un certain b@xter et tirer un ou deux obus sans conviction sur des fermes. Aucun signe de l'ennemi.
"
Reprise rapport. 22h35
"Par où commencer. Jusque la rien ne s'était passé. Mes hommes se préparait à un assaut sur le village tenu par ce b@xter. Les blindés avait tous été envoyé la-bas, ainsi que la plus grande partie de mon infanterie. Love et jinroh attaquerait par l'est et moi par le sud.
30 secondes avant l'attaque, je méditais quand brusquement un sergent est arrivé à mon bureau essoufflé, en disant:"Hauptmann, contact à 100m des avant poste... infanterie d'Ivan. On est en train de les neutraliser." Mon instinct et mes intestins me criaient que ça clochait... on n'avait aucune trace de Popov dans ce secteur et ceci avait l'air plutot frais. Je me jetais sur ma radio et hurlait sur le canal général:"Demi-tour! Attaque imminente sur le Zep, retour au QG !!". A peine les chefs de section avaient-ils reçu l'ordre qu'un message radio de l'avant poste m'arrivait:"Des blindés! Scheiße, infanterie nombreuse et blindés en approche. Demande de soutien."
Le moment parfait pour leur assaut. J'entendis brusquement les canons de 58 et 88 envoyé leur projectile. Suivi aussitôt du miaulement des 10,5 et du crachotement sec des mortiers. En regardant par la fenêtre du QG ou j'étais installé, je vis l'infanterie courir vers la 1°ligne, je sortis suivi de mon porte radio en hurlant des ordres incohérents. Je reçus immédiatement un appel radio me signalant que les blindés était pris à parti par des armes antichars dans le chemin forestier. Des éléments indiquait que la moitié des blindés était hors-combat.
On m'informa que c'était le Polkovnik Nord qui attaquait avec l'ensemble de sa force
. un peu sonné par la tournure des éléments, je regardais les véhicules russes et allemands jonchant la plaine, mes hommes mourant et mes canons chauffés au rouge
. Je maudis brièvement mes blindés d'être passé par la foret. Les canons PaK faisait leur maximum
mais l'ennemi avançait. Brutalement je vis les véhicules Popov amorçant un demi-tour. En écoutant les échanges radio, je compris ce brusque revirement. Love et jinroh avait profité de cet assaut pour attaquer le flanc ennemi.
Le redéploiement d'Ivan était compréhensible. profitant de cela j'ordonnais la contre-attaque. Les blindés ennemi furent détruit. Au bout de 10 min de poursuites, mes tympans ont explosés. On entendit Akou exulter : " Ces canons... j'ai eu ces ******** de **** d'artillerie". [Suite du rapport inintéressant]"
Fin du rapport. Reprise à 22h57.
" J'avisais le Konigtiger Pzr VIB. Avec un signe de la main, je le stoppais. Le chef de char me regarda en souriant:" On vous emmene où ?
-Sur le front.
-Lequel, on l'a craqué de toutes part, mieux qu'en Pologne.
-Sur les Yankee. Sam résiste au Polkovnik Akou."
Partout sur le chemin des blindés allemands, américains, de l'infanterie marchait vers l'est. Je su avec certitude que la victoire était notre." [/i]
Pour dire que c'était géant et que j'ai hate de le refaire
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Je ne démarrerais pas de partie après 21h45 ce soir.
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C'était jouissif! Il joue beaucoup avec! mais pas assez avec ses chars.
On s'y croirait.
