Partie très intéressante, je m'aperçois de quelques petites choses intéressantes.
NB :
-moi c'était Grallahpoussah, en Chine-Arabie (j'avais prévenu que les villes bougnoules seraient sacrifiées, on ne peut pas sauver tout le monde
)
-allié avec mon voisin Africain (Chataigne or not Chataigne ? :-D), voulant éviter une guerre sur deux fronts (Pacifique-Indien alors que déjà menacé par le terres), je partage mon radar avec lui en signe de bonne volonté, dans notre intérêt réciproque
Déjà, au risque d'enfoncer une porte ouverte, ce jeu est éducatif en ce qu'il nous fait comprendre des choses réelles.
-les premiers combats sont déterminants.
-l'aviation d'assaut (bombardiers) est à utiliser avec discernement (préserver)
-"qui trop embrasse, mal étreint" : on ne peut tout défendre, d'où la localisation réaliste des DAM autour des centres de population.
-rôle important de la chasse, en assaut (pour la reco et pour la saturation, cad. distraire les DAM adverses), et en défense (complémentaire à la DAM, justement pour limiter la saturation avant les vagues d'ICBM
).
Ensuite, [b][i]ma stratégie "réaliste dans la vie réelle", est naturellement un peu "contre-productive ingame"[/i][/b]. Je m'espike :
-je me suis pris une avoinée d'ICBM depuis la Russie., j'en intercepte une majorité, je prends des pertes (surtout civiles) mais très relatives... (-36 au max)
-... et SURTOUT, je conserve mon potentiel militaire de [b][i][u]réponse[/u][/i][/b] (résilience - 96 têtes encore à la fin!), et plus important encore, de [b][i][u]projection[/u][/i][/b] : ma flotte a démoli celle de Yéti (en tout cas celle du pacifique), plus quelques éléments d'Echo (sous réserve), tous les SNLE ont étés interceptés et j'avais encore plus d'une moitié de mes unités navales.
-mon idée était ensuite de démolir méthodiquement à l'aviation les défenses ennemies, pour raser tranquillement ses villes ensuite. Je l'ai fait à l'est de la Russie, ensuite j'ai sacrifié mon aviation pour distraire la DAM russe (et permettre aux autres humains de liquider Moscou et ses environs, MAIS épargnant moi-même mes ICBM sans participer davantage à la curée). Seulement à la fin je recommence et découvre les deux dernières bases russes, bien disposées en profondeur.
[b][i][u]Dans la réalité ça donnerait quelque chose de crédible : [/u][/i][/b]
-impossibilité de protéger tous les objectifs civils... (on remarque au passage la pertinence e la remarque d'Erich von Däniken [dans "souvenir du futur", faussement traduit pour faire "in" par "présence des Extra-Terrestres") : en cas de conflit : ce sont les centres les plus avancés/concentrés sont touchés en premier. En poussant le raisonnement : les Massaï et les aborigènes seraient les seuls à survivre
-...Mais victoire militaire, ouvrant la voie à ...
-pression pour la paix une fois le potentiel mili adverse démoli, sur le mode : "maintenant : on vous dicte nos conditions, sinon "paf le chien""
.
Une méthode signée Sun Tzu (en lieu et place d'une apocalypse mondiale : tout le monde balance ses missiles et tout le monde y perd
).
[b][i][u]SAUF QUE :[/u][/i][/b] Ingame, le compte à rebours à malheureusement ruiné mes plans : je termine avec quasiment toutes mes têtes (quelques unes balancées quand même à la fin pour le sport, mais rien de significatif).
Donc, la vision "simulation" pondérée par la vision "arcade", mais néanmoins très instructive.
Ceci dit : [u]Deux erreurs qui m'ont coûté du potentiel : [/u]
-je me suis fait raser une BA avec 10 bombardiers dessus (précieux!)
-j'ai perdu également 10 (!) bombardiers, abîmés en mer par une opération du saint-esprit que je n'ai pas comprise
Je regrette toujours des trucs fondamentaux : les mers parfois inaccessibles, des unités navales limitées et l'absence de trajectoires transpolaires qui changent tout. N'empêche que c'est instructif.
le jeu est encore en développement?