Petit retour coté Lovien.
Je démarre au sud est, ma zone de combat concerne donc le trio de blancs dans la ville du sud, le bleu foncé et "notre violet".
La partie commence plutôt bien pour moi, je prend rapidement position sous 2 des 3 blancs alors que Denis arrive doucement en retrait du dernier.
Kortex me signale (au passage à juste titre) que je devrais occupée un peu plus de terrain en arrière.
Je laisse quelques hommes avec un canon (qui m'aura surement manqué sur le front) pensant être tranquille.
Je n'ai toutefois pas de quoi vraiment avoir une troupe d'occupation de toutes mes zones, Denis en profite donc p,eécupérer facilement le violet.
Trop occupé sur les blancs je ne prête pas attention à cette incur, s notre territoire qui va finalement se révélée fatale.
Denis profita de ce trou dans mes lignes pour aller nous piquer les bleus ainsi que le trinome de zep communs à chaque équipe et ainsi offrir des paras à son équipe.
Certainement une des lacunes de ma façon de jouer, quand le nombre de troupes est restreint je n'ai pas les moyens de faire à la fois les assauts et l'occupation.
Le combat pour les blancs continue, toutefois la position de Denis sur le dernier blanc lui est trop favorable, il a juste a laissé des bazookas et lance-flammes dans la forêt impénétrable pour me contester la validation et me détruire facilement à moindre frais un grand nombre d'unités.
J'y laisserait au final la totalité de mes unités mécanisées autour de l'église, le plus marrant ce que Denis qui n'est jamais rentré en ville à quand même perdu tous ses blindés i,sns les champs.
Comme quoi on a encore tous des choses à apprendre, moi à ne plus m'aventurer dans une ville comme ça lui a arrêté de laisser trainer des unités visibles sans surveillance.
L'arrivée des paras des Denis sur mon arrière finira par m'achever totalement et je n'ai plus à ce moment que quelques hommes autour de mon point de renfort.
Kortex est alors au plus mal car malgré les dégâts qu'il peut infligés à Scalas il perd beaucoup d'unités et de terrain.
La situation est tellement désespéré qu'a un moment ce sont les unités infiltrées de Denis qui viennent nous défendre contre Scalas.
On a presque cru au complot quand à ce moment la Scalas lance une offensive sans précédent qui arrive jusqu'à notre zep de départ.
Nous profitons de l'arrivée d'un renfort pour changer de tactique de jeu, nous rassemblons toutes nos troupes au centre pour tenter bleus et oranges.
Kortex gère l'infanterie, la défense antichar et la logistique pour acheminer les renforts jusqu'au front alors que Denis est juste devant notre bouche d'entrée.
Je m'occupe pour ma part du nettoyage avec les mortiers et les blindés.
Quelques lances-flammes se suicident pour faire un trou dans la ligne de platanes qui couvre un chemin souvent emprunté par Denis et me faire de la vue pour attaquer.
Nous décidons alors d'attaquer avec Kortex (au nord avec les légers/infanterie) et moi (au sud avec les blindés) mais à peine nous arrivons dans la zone de feu ennemie qu'une nuée de troupes surgit en face de nous mais également au nord et au sud.
Après un raté similaire sur le orange, Kortex dépêche une reco sur zone et nous sommes stupéfait à ce moment, c'est une véritable pince à 5 contre 1 qui nous attends.
Nous pensons alors quitter, car être obligé de faire le jeu en étant cernés par des troupes immobiles devenait désespérant.
J'ai du bol car les blindés déployés par Denis pour se débarrasser de mes lances-flammes et faire la pince sont oubliés.
A force de raser les arbres je remarques des véhicules isolés de Denis et Romain sous le bleu.
Je propose à Kortex une dernière série d'actions avant de quitter si j'échoue, à ma grande surprise je n'ai pas de mal à détruire tous les blindés que je venais de remarquer sans me faire repérer.
Denis et Romain doivent être occupés au nord car je peux alors m'approcher du zep bleus et commencer à engranger de précieuses secondes de validations.
Le sursaut est pourtant de courte durée car Denis décide de renvoyer des troupes pour me remettre à ma place.
Je suis alors obligé de reculer assez loin car un Humbler décide de m'humilier officiers, ravits et camions plein tout en esquivant miraculeusement les tirs de mes chars et bazookas.
La situation se calme et je décide alors un dernier round avec ce qui me reste à ce moment la : 2 shermans dont 1 avec 4 obus, 12 hommes (dont 1 médic très important mais bientôt à court de pansements), 1 canon de 40 vide, 1 camion et 1 ravit vide...
Si Romain était venu a toi vous m'auriez renvoyé devant l'écran des scores je n'avais plus rien d'autre.
Sous le zep il ne reste à Denis qu'un M3 Lee et un Pz-IV je pense tenir ma chance, j'arrive à facilement à me remettre sous le zep, le 1er sherman à court de munition gaspille 1 obus sur de l'infanterie allemande, rate une première fois le M3 puis immobilise le Pz-IV avant de rendre l'âme.
Les mitrailleuses des chars ennemis commencent à blesser grièvement tous mes hommes alors que le 2ème sherman cherche la mort à prendre le mauvais chemin alors que je vois des Pz-Faust dans la forêt.
Finalement sur un coup de bol le Pz-Faust tire sa charge sur un équipage que je venais de décharger du sherman.
Je peux alors reculer le sherman et le faire tirer sur le M3 et le Pz-IV tout en continuant à prendre du temps de validation.
Nous validons d'ailleurs le zep au moment où le Pz-IV de Denis explose (ouf!)
Je sauve à ce moment la 8 hommes (dont 4 mortiers) en faisant le tourniquet avec le médecins pour les remettre à 50 pv ; mon camion/canon et ma ravit.
Rdv à l'est : prochain objectif récupérer les violets chez Scalas.
Les renforts offerts par les bleus arrivent rapidement et juste avant la prise de position sérieuse de Denis sur notre point de renfort (les renforts suivants n'auront pas cette chance).
Nous arrivons rapidement à faire de la vue sur la défense de Scalas et je profite du retour de mon bombardier pour raser l'usine et préparer le terrain.
Un Stuart entreprend alors de nettoyer toutes les maisons dans lesquelles Denis et Scalas sont installés.
Kortex me propose d'essayer de piquer les Pak38 et le marder de Scalas, je remarque qu'il y a aussi des munitions à prendre (oui nous sommes à bout).
Mes mortiers manquent de bol en visant un officier je fais explosé une caisse, l'incendie tuera l'officier de Scalas ainsi que les hommes qui étaient à coté du canon.
Les obus suivant seront bien plus efficaces je vide coup sur coup le Pak38 et le marder.
La reco de Kortex arrive nous pouvons alors lancer l'assaut avec 3 chars chacun et une cinquantaine d'hommes, Kortex arrive a isolé un Stug plus haut.
Par dépit Scalas sort les équipages (ce qui nous permet de récupérer un char de plus !) et nous prenons positions sous les zeps quasiment sans pertes.
Scalas et Furst quittent à ce moment, la suite n'a plus trop d'intérêts.
(même si il y a eu des beaux échanges pour leur zep de départ le orange)
C'était le récit de notre remontée, on a pris du plaisir à se faire démolir mais au final l'initiative à payer.
Bravo Denis pour le combat urbain et les incursions
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